En ville

Publié le par andre guidici

Pourquoi l’or n’éteint-il plus les fascinations morbides des puissants ?

Au fond, l’air n’est pas pur mais il est stable et ne ronge pas la surface.

Comment les sombres soirs rentrent-ils à l’intérieur des bouches entr’ouvertes curieusement éteintes ?

L’aire des carrés rétrécit, tout s’amincit, s’enterre au fond des petits trous des petits univers sourds.

Publié dans poésie

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E
<br /> Le blog est un peu en friche mais quelques fleurs peuvent encore se découvrir sous les sensitives. Merci de les avoir dénichées... Je vais me remettre au jardinage... <br />
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C
<br /> Hélas!... Mais ce poème est très beau.<br />
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